dimanche 22 février 2015

Le terrorisme à visage découvert

Le terrorisme a toujours existé, mais les exécuteurs changent en fonction du temps et des intérêts.  Pendant la guerre froide, on parlait d’un terrorisme entre deux systèmes, qu’on a imposé à l’ensemble des peuples du monde.  Le système capitaliste représenté par les États-Unis et le système socialiste-communiste représenté par l’Union Soviétique.   Les guerres se faisaient en fonction de la domination et des intérêts de chacun.  


vendredi 31 août 2012

Je dis non au Parti Québécois!

Il y a quelques années, lors d’une élection fédérale, j’ai donné mon appui au nom du Regroupement des Algériens du Canada à la candidate du Bloc à St Michel, madame Barbot au détriment du candidat poids lourd du Parti Liberal du Canada, l'ancien ministre des affaires étrangères, monsieur Petigrew, qui a été défait.  Cette position, une des premières faites par un organisme algérien et  maghrébin, a suscité plusieurs réactions et a fait le tour du Canada.  Quelques jours après, j'ai représenté plusieurs organismes arabes et musulmans dans une coalition qui a donné son appui à certains candidats du Bloc. 

 

dimanche 6 mai 2012

Je vote, mais...

Le jour J des élections algériennes approche à grands pas.  Cette élection que certains prétendent être ce tournant et ce changement pour qui le peuple aspire depuis l’indépendance.  Certains ont avancé même l'émergence de la 2ème république.  Si nous nous fions au président, ces élections sont cruciales pour l’Algérie.  Il a même assuré la transparence des urnes.  Malgré cette promesse du président, certains indices nous laissent perplexes : un chef de gouvernement partisan et non crédible, un ministre de l’intérieur hautain et irrespectueux de la classe politique, un nombre de partis sans assise créés pour les circonstances,  et et et…

mardi 13 mars 2012

Le dilemme d'une élection

Comme prévu, les élections législatives algériennes vont se dérouler dans un climat spécial par rapport aux échéanciers précédents. Pour s’ajuster aux conditions imposées par la nouvelle donne du printemps arabe, et par crainte d'être balayé comme certains régimes, l'Algérie a voulu être avant-gardiste en optant pour un certain changement.  Le régime algérien n'a pas changé d'un iota depuis qu’il a confisqué les richesses, les consciences et l'histoire.  Il a eu plusieurs chances au cours du demi-siècle pour corriger le tir, mais il a failli, soit par la manipulation des faits soit par la fraude électorale.

lundi 20 février 2012

Où va l'Algérie?

Le printemps arabe continue à souffler sur l'ensemble du monde arabe.  Un monde qui,  hier, était méprisé par la planète toute entière est devenu le symbole de la liberté et des revendications des peuples.  Le monde change et les peuples veulent prendre leur destinée en main, après l'avoir abandonné à des groupuscules un long moment.  Ces groupes ont failli à leur tâche.  Ils ont profité de leurs positions privilégiées pour assouvir leur soif du pouvoir, mettre la main sur les richesses et même confisquer les indépendances.

jeudi 17 mars 2011

Cette retenue est-elle préméditée?

La position des occidentaux est perplexe dans le cas de la Libye.  Le délai de réaction  est-il prémédité?  Le vent de changement fait-il perdre aux politiciens la défense des droits humains? 


Le désir de saper cette révolution et cet élan des peuples arabes vers une liberté et une démocratie  à l’arabe fait elle peur au monde occidental, au point de jauger le pouls du contexte libyen pour arrêter ce flux.   Le peuple arabe et à leur tète le peuple libyen, ne veut rien entendre d’une intervention internationale.  Les peuples arabes ne font plus confiances aux instances internationales qui les ont bafoués, divisées et humiliés par des vetos.   La méfiance  est de vigueur, pour des raisons compréhensives.


dimanche 20 février 2011

La révolution blanche

La Tunisie et l’Égypte ont donné le ton à cette révolution arabe qui est entrain de secouer et d’ébranler ces régimes archaïques qui ont contribué à créer des systèmes  mafieux, claniques et sans scrupule pour leur peuple.  Cette révolution blanche qui ne désire que le départ de ces régimes,  sans effusion de sang et sans violence.  

 Malheureusement  ces pouvoirs veulent anéantir les aspirations légitimes de leur peuple par toutes sortes de provocations.  Tous ces régimes ont leurs stratégies préfabriquées pour se maintenir.  Tous les termes sont bons pour survivre et gagner la sympathie occidentale.  Faire craindre le pire, alors qu’il n’y a pas pire que leur  maintien.  Le peuple a dit son dernier mot, le départ pour certains ou le changement radical pour les autres, mais dans les deux cas, la liberté, la démocratie réelle  et une justice équitable pour tous.